Présentation du site

1 Ce site est un site de réflexion,pas d’actualités;

2 Il s’inspire de la philosophie ou,mieux,de la metaphysique réaliste d’Aristote et de Saint Thomas d’Aquin:il est donc intellectualiste et anti-idéaliste;

3 Il s’organise autour de la définition donnée par l’historien des religions Geiores Dumésil de la tri-fonctionnalité ou tri-dimensionnalité de l’humaine condition:spiritualité,politique économie, soit l’homme devant Dieu,ses semblables, la nature;

4 Les articles sont brefs et denses,abstraits;

4 Le ton et le style sont variables,tantôt froid ou virulent,elliptique ou développé;

5 Il comprendra aussi des bibliographies ou répertoires de sites,de revues d’organismes,etc;

6 Il est encore à l’état d’ébauches tant pour sa conception,son fonctionnement, son contenu ,etc;

7 Malgré ses nombreux péchés de jeunesse,le lecteur,si au mieux,il lit tout-80 aricles,deux ou trois par semaines en plus,ou ne fait qelqus sondages,s’apercevra de sa cohéence sans failles,de son absence de contradictions,des répétitions inévitables,vu le parti-pris, avec compléments ,améliorations,etc,permanents;

8 il est austère,sauf exception;

9 Il ne dévirera pas d’un pouce de ses principes fondateurs,indifférent à l’esprit du temps,hors améliorations,précisions,etc;

10 Il, n’est ps subjectiviste et sentimental mais objectiviste,et dans la mesure,limitée, du possible,intelligent;

11 Il n’est fait ni pour les flemmards ou les indignés professionnels et peut de ce fait paraître trop affirmatif,voire arrogant;

12 Il vient d’être compété, il y a quelques jours seulement,par un site d’action cette fois:tantampotestantamaude.erlande.com;sa devise: »autant tu peux,autant tu oss mais n’oses jamais l’impossible car tu en mourras,toi et les tiens;

12 Son ancien nom était:erlande.wordpress.com;

13 Enfin,les deux sites sont PRO-VIE sans concession.

Son responsable peut être joint sur sa messagerie électronique:brandenburg.olivier@gmail.com ou à son adresse postale:Olivier Erlande Brandenburg,39 rue edmond rostand 13006 Marseille aussi mais pas par téléphone,rigoureusement filtré sauf urgence:laisser alors un mssage avec le numéro à rappeller car le journal d’appels en absence pour des raisons  techniques mystérieuses ne fonctionne pas..

Il est ouvert à toutes les collaborations,coopérations se situant au sens large dans le même esprit.

Il est gratuit pour l’abonnement.

Son rédacteur étant totalement aveugle d’un oeil,l’autre à 2/10),des fautesc de frappes inévitables échapperont à sa vigilance,le logiciel étant en plus défaillant.Pardon d’avance.

 

Autres sites:

-Action:tantampotestantamaude.erlande.com

-Références:souceserlande.wordpress.com

-Documentation:documentationerlandewordpresscom

Macron,ses sbires,ses spadassins,ses félons et « Les cahiers de doléances »,des prétextes pur une révolution bourgeoise dite « disruptive »,comme en 1789

Macron,ses sbires,ses spadassins,ses félons et « Les cahiers de doléances »,des prétextes pur une révolution bourgeoise dite « disruptive »,comme en 1789
Publié le 22 décembre 2018

Macron,ses sbires,ses spadassins,ses félons et « Les cahiers de doléances »,des prétextes pur une révolution bourgeoise dite « disruptive »,comme en 1789
22 décembre 2018

En 1789, »Les cahiers de doléances » furent en réalité rédigés par les bourgeois regroupés en Sociétés savantes,Académies et Cercles,etc,en général francs-maçons ,qui se passèrent le mot,avec quelques détails locaux,pour les écrire,le but étant de sacraliser la propriété privée au détriment des paysans pauvres qui y perdirent des droits coutumiers gratuits comme celui de faire paître gratuitement leurs bêtes après le regain sur toutes les propriétés,de glaner dans les bois et forêts des glands pour leur cochons dont ils faisaient aussi de la farine pour leur propre nourriture,ainsi que de ramasser le bois mort en toutes saisons pour se chauffer,faire la cuisine,s’abriter et fabriquer des outils en bois, ce qui entraînera une grande misère lorsque les lois adéquates-Le Pelletier entre autres- furent actées, celle-ci qui interdit toute association entre eux,les laissant sans défense contre les propriétaires bourgeois ou les maîtres-artisans, qui en plus avaient nationalisé sans indemnités les biens de la noblesse et de l’Eglise,rachetés à vil prix avec des assignats, « Du néant habillé en monnaie »-Jacques Rueff-1971),créant ainsi une classe bourgeoise obèse,richissime,rentière et oisive (voir « La classe de loisirs » de Théodore Veblen.)
En philosophie règne ce crétin de Victor Cousin,fondateur de « L’éclectisme »,un pot-pourri d’absurdités, avec une seule chose sacrée « La Propriété ».

Ces bourgeois français n’avaient d’ailleurs rien inventé mais plagié les anglais avec leur multiples « révolutions » et la création de la franc-maçonnerie (free macons),vaguement spiritualiste,qu’adoptèrent en France Arouet dit Monsieur de Voltaire,Caron dit Monsieur de Beaumarchais ,Condorcet qui finit désespéré « des progrès de l’entendement humain » qui se réalisaient par le rétrécissement des tête grâce à « La sainte guillotine » comme l’appela un crétin tandis qu’un autre crétin s’exclamait lorsque la tête du chimiste de Lavoisier roula à son tour dans le panier de Sanson: »La République n’a pas besoin de savants »,surtout quand ils sont nobles.
Auparavant,le parlementaire richissime de Bordeaux,Condensat dit Monsieur de Montesquieu avait mis à la mode l’anglomanie avec son stupide « Esprit des lois » dot le seul but,sous couvert de la séparation des pouvoirs, était de les donner tous aux seuls juges,parlementaires et autres de la basoche, et,de fait,plus tard ,ce furent des juristes ratés comme Monsieur de Robespierre ou Monsieur de Saint-Just qui coupèrent le plus de têtes et,en général,d’humbles personnes comme de domestiques (de nobles ),de boulangers,d’artisans et même celle de la première féministe française Olympe de Gouge,un peu fofolle mais pas méchante.
Monsieur de Saint-Just qui avait dit avant la Révolution « Le bonheur est une idée neuve en Europe »,s’exclama,une fois arrivé au pouvoir : »Il me faut encore 10 000 têtes » tandis que ceux qui craignaient pour la leur, la lui coupèrent à son tour après celle de Danton et en même temps que celle de Monsieur de Robespierre et consorts,en établissant le régime le plus corrompu de l’histoire Le Directoire dont le maître fut Barras,amant de Joséphine de Beauharnais,future femme de Napoléon Bonaparte et future Impératrice.
Barras complota alors avec le jeune Bonaparte ,ami du frère de Monsieur de Robespierre,pour renverser son propre régime ce qui se termina,comme toutes les révolutions,par une tyrannie ,celle de Napoléon.
Une fois de plus les révolutionnaires français avaient imité les anglais qui coupèrent déjà la tête de leur Roi,Cromwell établissant sa tyrannie avec ses « Têtes rondes »,des puritains sanguinaires qui massacrèrent à peu près tout le monde et surtout les catholiques,plus spécialement en Irlande.
Ces multiples révolutions de la très libérale Angleterre aboutirent à rendre misérables les paysans anglais,les grands propriétaires terriens de la haute noblesse et de la haute bourgeoisie clôturant leurs propriétés-enclosures- pour empêcher, comme en France plus tard,les paysans d’exercer leurs droits gratuits de pacage,glandage,bois mort,etc.
Réduits à la misère,les paysans pauvres espérèrent trouver un refuge dans les viles et fournissant une main d’oeuvre bon marché pour les débuts de la soi-disant révolution industrielle pendant laquelle,entassés dans des taudis (les slums-voir Charles Dickens ) asphyxiés par le brouillard des manufactures au charbon (le fog),tandis que des enfants de 5 à 6 ans,enterrés dans les mines de charbon travaillaient 7 jours sur 7 et 12 ou 14 heures tous les jours pour ouvrir et fermer les clapets des gaines de ventilation pour éviter autant que possible les coups de grisou, mais mourraient très jeunes,leurs poumons encore fragiles étant victimes précoces de la silicose.
Par ailleurs, la libérale Angleterre enfermait dans des camps de concentration (center power ) les autres pauvres avec interdiction de les quitter sous peine de pendaison,obligés de travailler gratis pro Deo en échange d’une maigre pitance,de haillons et d’un frêle abri.
Et voila comment l’Angleterre devint la plus grande puissance mondiale,pour peu de temps d’ailleurs,ses émules les Etats-Désunis les dépassant vers 1870,tandis que la France « La grande nation » connaissait du fait de ses multiples révolutions bourgeoises « Le grand déclassement »-voir le livre de Pierre Chaunu-1989-et celui de Réné Sédillot « Le coût de la révolution »-la France étant dépassée successivement par l’Angleterre,l’Allemagne et les Etyats-Désunis,etc.

De même,les nouveaux cahiers de doléances ne seront pas rédigés par le peuple qui en est bien incapable mais par les têtes-d’oeuf-à-claques marcheurs en arrière,disruptifs et cons comme des balais de nettoyeurs de caniveau ,grands partisans d’un énième « du passé faisons table rase » vers des « lendemains qui déchantent » et « des avenirs sanglants » et qui finiront pauvres comme Job sur leur tas de fumier car ce sont eux qui ont encore un peu d’argent et commencent pour cela à passer à la caisse tandis que le nouveau « Dieu parmi nous »(sens d’Emmanuel en hébreu) vend la France à l’encan à des multimilliardaires français mais de préférence étranger (Alstom,les TGV,et auparavant mais sous son égide au temps où il était l’homme de main de Hollande, Péchiney aux amerlocs puis Areva et Peugeot aux chinois,etc,etc.

HE QUE VIVA MEXICO

PS:un film factum de Eiseinstein sur ordre de « L’homme d’acier »,alias Staline , alias Djougachvilli et alias Le Petit Père des Peuples

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Muslims Are Converting to Christianity in Record Numbers; How are so many conversions taking place in oppressive countries where proselytizing can bring a death sentence? by Patti Armstrong

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(Pixabay/CC0)
Blogs | Nov. 17, 2017
Muslims Are Converting to Christianity in Record Numbers
How are so many conversions taking place in oppressive countries where proselytizing can bring a death sentence?
Patti Armstrong

“We are in a time of the first ever mass conversions of Muslims,” Father Mitch Pacwa SJ told me in a phone interview. “God is doing a mighty work among them.”

Pacwa is a host for EWTN radio and TV, a frequent pilgrim guide to the Holy Land and is fluent in 13 languages including Arabic. He is considered an expert on the Middle East and produced the DVD Christianity & Islam: Are We at War? and co-authored Inside Islam: A Guide for Catholics.

Pacwa said he began hearing talk of conversions to Christianity around 2005 on Al Jazeera Television, the Arabic news satellite TV channel with 80 bureaus around the world. “They were reporting on the mass conversions of Muslims—as many as 6-8 million—in sub-Saharan, Africa, and they have repeated the warning every year,” he said. “I’ve confirmed it with Africans I know who have told me again and again about conversions in places like Nigeria, Uganda, Mali … that’s why Boko Haram has become so active. They are actually quite scared and trying to terrorize. But the very act of terrorizing people has ended up with people becoming more disgusted with Islam.”

Bad Public Relations

The violence of Islamic terrorists has made for bad PR, according to Pacwa. For instance, he recalled hearing someone on African TV say: “Al-Qaida attacks Americans by blowing up our embassies but we Africans are the ones that die in the attacks.” He suspects that Islam is at the beginning of a collapse, likening increased terrorism to the supernova stage where stars burn brightest just before they burn out.

Pacwa gave recent examples of heinousness retribution for rejecting Islam. “Not long ago I read about a boy who was a slave that snuck out to pray on Good Friday and was crucified for it,” he said. “I also heard about two Filipino maids that were caught with the New Testament and beheaded.”

Americans caught practicing Christianity in Muslim countries are usually expelled but according to Pacwa, it’s much different for citizens. “Fridays after the noon prayers is the day they cut off hands and heads from thieves, adulterers—women only—and people who commit blasphemy, and that would include converting to Christianity.”

Conversions Spreading

Yet, despite such risks, Pacwa said that mass conversions are happening even in very fundamentalist countries. There is rapidly growing number of conversions especially on the edges of the Muslim world in the western and southern parts of Africa, he said. “Africa is now growing predominantly Christian despite crackdowns,” Pacwa said.

Some of the noteworthy countries he mentioned include Iran, reported to have 3 million Christians, and Indonesia with reports of 2 million a year converting. (Here is a video of a Muslim Indonesian family that converted, explaining that they now pray to Allah as Father, Son—Jesus is called Isa—and Holy Spirit.)

“In Mongolia, the president opened the country to Christians and there’s even an archbishop,” Pacwa said. “They built a Catholic school there too. If I was younger, I would have gone.” He said that the desire for a Western education was the impetus to open up the country to the Catholic Church.

Mongolia now has around 1,000 Catholics and three churches. “It has gone from a mission in 1991-2003 to a prefect apostolic which means they have a bishop, although it is not yet formally a diocese,” Pacwa said. “They have had their first native Mongolian ordained a priest and there are three Mongolian seminarians.”

There are even conversions happening in many strict Muslim countries, according to Pacwa. He did not want to go on record with particulars for fear of increased retribution. Mass conversions are also being reported among refugees that are filling up the Christian churches left empty by Europeans. Many wonder if those are authentic conversions or just a response to improving their chances for amnesty, but time will tell.

Signs of this conversion are showing up in the U.S. too, Pacwa said. “I was about to celebrate Mass at a Maronite church in San Diego and I said hi to a man who introduced himself as Achmad. I asked if he was a Christian. He said: ‘Yes, I was recently baptized.’ He said he from Morocco. Christians do not have the name Ahmad—that’s a form of Mohammad.”

Source of Conversions

How are so many conversions taking place in oppressive countries where proselytizing can bring a death sentence? “A large number of Muslims are receiving visions of Jesus and the Blessed Virgin Mary that has led them to convert,” Pacwa said. “Many of these stories can be seen online.”

Another big source of conversions, according to Pacwa, is through Father Peter (Butros) Zakariam, a Coptic Orthodox priest exiled from Egypt known as the most wanted man in the Muslim world. He does a TV show every Friday, which is broadcast to 60 million Arabs, and a six-hour internet discussion show every Tuesday and Thursday. There are also many videos on the internet of him boldly proclaiming Christianity and denouncing Islam.

“The Muslims have a price on his head—$60 million,” Pacwa said. “He’s in hiding but moves around. He keeps producing these TV shows and attacks Islam because he is brilliant in his knowledge of the Quran and he is fearless.”

To learn more about Father Zakariam go here.
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Patti Armstrong

Patti Armstrong is an award-winning author and was the managing editor and co-author of Ascension Press’ bestselling Amazing Grace series. Her latest books are: Big Hearted: Inspiring Stories From Everyday Families and Dear God, You Can’t Be Serious. She has a B.A. in social work and an M.A. in public administration and worked in both those fields before staying home to work as a freelance writer. Patti and her husband live in North Dakota, where they are still raising the tail end of their 10 children.

Follow her on Twitter at @PattiArmstrong and read her blog at PattiMaguireArmstrong.com.
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Vers où va-t-on ?: La Chine se prépare à une guerre commerciale depuis plus d’une décennie

Vers où va-t-on ?

La Chine se prépare à une guerre commerciale depuis plus d’une décennie

Posted: 13 Aug 2018 04:36 AM PDT
Article original de Brandon Smith, publié le 12 juillet 2018 sur le site alt-market.com
Traduit par le blog http://versouvaton.blogspot.fr

Chaque bataille est gagnée AVANT d’être engagée – Sun Tzu

Le crash de 2008 a apporté avec lui une série de paradigmes économiques étranges rarement, voire jamais vus dans l’histoire ; paradigmes qui ont renversé l’analyse budgétaire normale. Alors que certains fondamentaux restent les mêmes, peu importe ce qui se passe, la présentation de ces données a été délibérément faussée pour cacher la vérité. Mais quelle est la vérité ? Au fond, la vérité est que la plupart des économies du monde sont beaucoup plus faibles que ce que les gouvernements et les banques centrales ont montré. Cela est particulièrement vrai pour les États-Unis.

Cela dit, un pays poursuit une stratégie opposée depuis de nombreuses années – ce qui signifie qu’il a caché sa préparation économique plus que ses faiblesses. Je parle bien sûr de la Chine.

Lorsque nous mentionnons la Chine dans le monde de l’analyse alternative, plusieurs problèmes surgissent : l’endettement croissant de la Chine, les dépenses gouvernementales pour des programmes d’infrastructure apparemment inutiles comme des « villes fantômes », la banque centrale chinoise et son sous-ensemble de corporations aux chiffres financiers opaques. Ces choses alimentent l’idée que lorsqu’une catastrophe financière mondiale va se produire, inévitablement, elle va émaner d’abord de la Chine. Elles donnent également au public américain la fausse impression qu’une guerre commerciale contre la Chine sera facilement gagnée et que la Chine va immédiatement faiblir sous le poids de ses propres instabilités voilées.

Cependant, si l’on étudie réellement le comportement et les activités de la Chine au cours de la dernière décennie, on peut voir apparaître une méthodologie derrière la folie apparente. En fait, certaines actions de la Chine semblent suggérer que ce pays se prépare depuis des années aux conditions géopolitiques exactes que nous voyons aujourd’hui. C’est comme si quelqu’un les avait prévenus à l’avance…

En termes de préparation à une guerre commerciale avec les États-Unis, la Chine a mis en œuvre plusieurs mesures importantes. Par exemple, pendant au moins les dix dernières années, le pays a délaissé une économie purement exportatrice et réduit sa dépendance aux ventes de biens aux États-Unis. En 2018, les achats chinois de biens de consommation devraient surpasser ceux des consommateurs américains. Au cours des cinq dernières années, la consommation intérieure en Chine a représenté entre 55% et 65% de la croissance économique, et la consommation privée a été le principal moteur de l’économie chinoise – PAS les exportations.

L’argument selon lequel la Chine est en quelque sorte dépendante des marchés et des consommateurs américains pour maintenir son économie en vie n’est qu’un mensonge. La Chine attire maintenant un marché au détail aussi attrayant que celui des États-Unis, et son marché intérieur pourrait prendre le relais au cas où les marchés américains seraient soudainement fermés aux exportations chinoises.
Le problème de la croissance rapide de la dette chinoise est souvent présenté comme le principal argument contre la survie de cette nation à une réinitialisation économique mondiale ou à une guerre commerciale, avec son système bancaire parallèle menaçant de déclencher une longue crise cachée du crédit et une chute des marchés boursiers. Mais ce n’est pas l’histoire complète.

Le montant exact de l’impression de monnaie fiduciaire que la banque centrale de Chine a entrepris après l’accident de 2008 n’est pas connu. Certaines estimations calculent la dette de la Chine à environ 250% de son produit intérieur brut. Selon les normes habituelles, cela suggère qu’une crise du crédit est imminente. Mais l’intérêt soudain de la Chine pour l’expansion de la dette était-il une simple réaction ou faisait-il partie d’un plan plus vaste ?

Juste après 2008, un argument commun contre la résilience de la Chine était la notion que la Chine dépendait de sa détention de réserves en dollars américains afin de maintenir faible sa propre monnaie. Cela signifie que les entreprises chinoises ont dû vendre des biens aux États-Unis en échange de dollars, qu’elles ont ensuite échangés avec la banque centrale contre des yuans. La banque centrale chinoise détenait alors ces milliers de milliards de dollars en réserve pour maintenir le dollar artificiellement plus fort sur le marché mondial, et le yuan plus faible, soutenant et perpétuant ainsi l’ancien modèle d’exportation.

De toute évidence, cet argument n’est plus applicable ou carrément absurde.

L’expansion de la dette propre de la Chine et l’émission d’obligations du Trésor ont commencé en 2005 dans le cadre du programme « Panda Bond ». À l’époque, cette information a été traitée comme une nouveauté ou une blague par la communauté économique dominante. Aujourd’hui, c’est une puissante motrice, car les actifs libellés en yuan se répandent dans le monde entier.

La Chine n’a plus besoin de détenir des dollars ou des actifs libellés en dollars afin de maintenir sa devise plus faible pour les marchés d’exportation. Elle peut simplement gonfler et monétiser sa propre dette, tout comme le font les États-Unis. Mais pourquoi la Chine prendrait-elle la peine de le faire ? Pourquoi sauter dans le même jeu de dette qui a causé tant de problèmes aux nations occidentales ?

Peut-être parce qu’elle sait quelque chose que nous ne savons pas. Au cours de la phase initiale de la crise des produits dérivés, la possibilité pour la Chine de rejoindre le panier des droits de tirage spéciaux du Fonds monétaire international a pris le devant de la scène. Avec le yuan en tant que membre du panier de DTS, son potentiel de devenir un centre financier pour le commerce mondial plutôt qu’un simple centre d’exportation et d’importation serait assuré. Mais le FMI a fixé certaines conditions avant que la Chine ne puisse y adhérer. L’une de ces exigences était une liquidité monétaire beaucoup plus grande et un marché du yuan plus « librement utilisable ». En d’autres termes, pour que la Chine rejoigne le panier des DTS, elle devait d’abord s’endetter considérablement.

C’est exactement ce qu’elle a fait : ne pas soutenir son système bancaire (bien que cela soit une excuse valable) ou soutenir forcément ses marchés boursiers. Au contraire, la Chine voulait un siège à la table du « nouvel ordre mondial », et elle a acheté ce siège grâce à une expansion massive de la dette. La Chine a été officiellement incluse dans le panier de DTS en 2016.

La Chine a été un ardent défenseur du système du panier de DTS, et le pourquoi devient clair si vous comprenez ce que les globalistes ont l’intention de faire pour l’avenir du cadre monétaire mondial. Ce plan a été décrit pour la première fois dans le magazine The Economist contrôlé par les globalistes en 1988 dans un article appelant aux débuts d’une monnaie mondiale en 2018. L’article stipule que l’économie américaine et le rôle du dollar comme réserve mondiale devraient être diminués, et que le panier des droits de tirage spéciaux du FMI pourrait être utilisé comme un pont pour mettre en place une monnaie unique pour toutes les économies du monde.

Cette monnaie serait bien sûr administrée et contrôlée par les élites bancaires du FMI.
Depuis 2009, la banque centrale chinoise a demandé que le panier de DTS devienne une « monnaie de réserve super-souveraine », autrement dit un système monétaire mondial. En 2017, le vice-gouverneur de la banque centrale de Chine a déclaré que les banques centrales devraient accroître leur utilisation du panier de DTS en tant qu’unité de compte et qu’une plus grande liquidité en DTS devrait être encouragée. En 2015, la banque centrale chinoise a suggéré que le système du panier de DTS « passe au tout numérique », en créant une version électronique de cette monnaie de réserve afin qu’elle puisse se répandre rapidement.

Il n’est pas surprenant que le FMI soit entièrement d’accord avec ce plan et ait même suggéré dans des articles récents sur son site Web que les cryptomonnaies et la technologie de type blockchain sont l’évolution future du système monétaire.

Le globaliste notoire George Soros a révélé quelques détails plus sombres de ce que le FMI appelle la « réinitialisation économique mondiale » dans une interview en 2009 ; ces détails comprenaient une économie américaine affaiblie, un dollar moins fort et que la Chine devienne un nouveau moteur économique pour le monde.

Enfin, la Chine s’est clairement préparée à une crise considérable du dollar ou de la stabilité économique mondiale, comme en témoigne son stockage soudain et agressif de réserves d’or au cours de la dernière décennie. Seulement récemment surpassée par la Russie dans les achats, la Chine est l’un des acheteurs nationaux d’or les plus agressifs. Un stock d’or en expansion constituerait une couverture efficace contre l’effondrement du marché du dollar. Si le dollar perd son statut de réserve mondiale, des pays comme la Chine et la Russie sont bien placés pour en atténuer les dommages. Compte tenu du fait que le FMI détient officiellement environ 3 000 tonnes d’or, les globalistes sont également bien placés en cas de crash du dollar.

Il semblerait que la Chine ait été incluse à plusieurs niveaux dans le plan de réinitialisation globale. Toutes les actions mentionnées précédemment suggèrent une connaissance anticipée d’un changement radical du modèle du dollar. La guerre commerciale elle-même fournit une couverture parfaite pour cette réinitialisation économique, comme je l’ai mis en garde dans mes derniers articles. La Chine jouerait un rôle important dans la réinitialisation, car elle a la capacité de vendre massivement les bons du Trésor américain et lâcher ainsi le dollar comme monnaie de réserve mondiale, provoquant une réaction en chaîne sur les marchés mondiaux alors que leurs partenaires commerciaux sont organisés en une chaîne de domino.

Ils vont probablement le faire tranquillement (comme la Russie l’a fait récemment), afin de se débarrasser de leurs bons du Trésors américains avant que la nouvelle de ces ventes frappe les médias dominants. Les principaux bénéficiaires de cet acte seront les globalistes, tandis que la Chine s’est placée pour survivre (pas nécessairement pour prospérer) pendant le chaos. Il n’en va pas nécessairement de même pour les États-Unis, dont le talon d’Achille est la dépendance totale à l’égard de la primauté du dollar.

Brandon Smith

Vers où va-t-on ?: Une retraite dans la mauvaise poésie

Vers où va-t-on ?

Une retraite dans la mauvaise poésie

Posted: 14 Aug 2018 08:31 AM PDT
Article original de Dmitry Orlov, publié le 2 août 2018 sur le site Club Orlov
Traduit par le blog http://versouvaton.blogspot.fr

Cela fait plus de deux semaines que Poutine a parlé à Trump à Helsinki, et le brouhaha autour de cette réunion s’est un peu calmé, ce qui a permis de rassembler quelques réflexions sur ce qui s’y était dit. Évidemment, il y avait beaucoup à discuter pour ces deux chefs d’État, simplement pour éviter que la situation internationale ne devienne incontrôlable, et peut-être l’ont-ils fait. Et, de toute évidence, la seule chose que ces deux pays n’auraient pas pu faire est d’empêcher la situation politique aux États-Unis de devenir incontrôlable.

Peut-être plus important encore, ils ont décidé de relancer le processus visant à remettre sur les rails les pourparlers sur la limitation des armements stratégiques. En réponse à l’abandon par les États-Unis du Traité antimissile antibalistique en décembre 2001, la Russie a passé ces 17 dernières années à développer de nouveaux systèmes de missiles hypersoniques et suborbitaux, certains à propulsion nucléaire et à autonomie illimitée. Ces nouvelles armes ont enterré les rêves de l’Amérique de pouvoir jamais réussir une première frappe nucléaire contre la Russie. Elles ont également réduit le statut des systèmes américains de défense balistique à celui de ferraille très coûteuse. Maintenant que la destruction mutuelle assurée est une fois de plus garantie, il est parfaitement logique que les deux superpuissances nucléaires du monde recommencent à chercher comment garantir la sécurité de l’autre, car toute alternative comporte le risque d’anéantissement nucléaire des deux côtés.

Il semble assez évident que la tenue de pourparlers sur la prévention d’une conflagration nucléaire accidentelle face à des circonstances stratégiques radicalement modifiées est plus importante que tout autre chose. Et pourtant, en Occident, la couverture médiatique de l’événement était dans la lignée de cette manchette de la BBC : « Trump se range aux côtés de la Russie contre le FBI au sommet d’Helsinki ». À leurs yeux, Trump a brisé une règle cardinale en allant à l’encontre du récit de « l’ingérence électorale russe ». En passant, le titre de la BBC est stupide : la Russie n’a pas pris parti contre le FBI. Poutine a déclaré que dans une démocratie, seuls les tribunaux peuvent décider de la véracité de ces allégations, et a offert la coopération du gouvernement russe dans leur enquête. Mais ses mots sont tombés dans l’oreille d’un sourd. Au lieu de cela, le monde a été contraint d’être témoin d’un spectacle très étrange : le président américain a été accusé de rien de moins que de « trahison ». Le mot est entre guillemets parce que ce n’est pas possible : aux États-Unis, la trahison est spécifiquement limitée à l’acte d’aider et d’encourager un ennemi en temps de guerre et ne s’applique pas aux présidents américains qui ont des entretiens avec des dirigeants étrangers.

La réaction des médias américains a été largement discutée dans les médias russes, et a été communément appelée d’« hystérique ». Mais je pense que cette caractérisation manque la cible. Oui, vous pourriez faire référence métaphoriquement à ce qui s’est passé en utilisant des termes empruntés à la psychologie ou à la psychiatrie, mais je ne pense pas que cela ajoute vraiment à la clarté. À quoi sert un diagnostic s’il ne peut être suivi d’une thérapie ou d’un traitement ? S’il y avait la possibilité que des hommes en costume blanc courent sur le plateau de CNN ou MSNBC, brandissant des seringues et des camisoles de force, alors, bien sûr, appelez ça « hystérie » ou « psychose » ou ce que vous voulez. Mais la probabilité que cela se produise est nulle. Plus précisément, ces journalistes, qui ne sont pas tout à fait des journalistes, qui aiment jeter des contrefaits dans tous les sens pour accuser Trump de trahison sans même se donner la peine de « googler » le mot « trahison », car dans ce cas ils auraient découvert que le terme ne s’applique pas et ils auraient essayé d’en utiliser un différent. Ils auraient peut-être essayé de se brancher sur la « déloyauté », mais après avoir pris connaissance de la chaîne de commandement au sein de l’Exécutif, ils auraient découvert que l’exigence de rester loyal revient au FBI et non au président. Ils auraient été forcés de descendre dans la liste pour opter pour autre mot, « scepticisme », ce qui est bien le cas en réalité.

Mis à part les métaphores psychologiques, qu’est-ce qui a possédé (une autre métaphore) les mass-médias aux États-Unis pour appeler Trump un «traître? Nous avons déjà établi que ce discours ne pouvait pas donner lieu à une action (en raison des limitations légales sur le sens du terme «trahison»). Il se compose de mots et de phrases évocatrices mais absurdes, répétées sans cesse avec beaucoup d’emphase. Si l’on considère que la politique signifie la poursuite du possible, cela ne peut même pas être qualifié de discours politique. Plus ou moins par processus d’élimination, nous sommes forcés de conclure que c’était… de la poésie. Pas une bonne poésie, à notre avis, mais quelque chose plus dans le sens de la poésie Vogon tel que décrite par Douglas Adams : le genre de poésie qui, récité, amène les spectateurs à se cannibaliser ou à mourir d’hémorragie interne. Comparez, par exemple, la prose de John McCain

Aucun président précédent
Ne s’est jamais abaissé de manière plus abjecte
Sinon un tyran !

et le prostetnic Vogon de Douglas Adams, Jeltz de dire:

Je devrais vous déchirer
Dans les gobberwarts
Avec mon blurglecruncheon !

Mais je pense que c’est Trump qui a commencé ce slam poétique, avec cette salade de mots :

Le président Poutine dit que ce n’est pas la Russie.
Je ne vois aucune raison pour cela …

Il corrigea ensuite avec facétie :

Je ne vois aucune raison pour que ce ne soit pas…

Ces lignes sont dignes du poète lauréat d’Adams, Grunthos le Flatulent.
Qu’est-ce qui a poussé cette retraite américaine vers la mauvaise poésie ? Peut-être que cela a quelque chose à voir avec la prise de conscience que les États-Unis ne sont plus dominants ou prééminents dans le monde, dans tous les sens du terme. Cette prise de conscience doit être cachée par tous les moyens possibles, car de telles pensées ne sont tout simplement pas autorisées dans les médias dominants de la seule nation exceptionnelle du monde. Les poèmes sont utiles ici en ce sens qu’ils n’ont aucune valeur de vérité. Vous ne pouvez pas plus contester un poème que vous pouvez remettre en question les mots de l’hymne national. (« Non, notre drapeau n’était pas encore là ! »). Les poèmes sont, simplement, et si vous remettez en question leur véracité, alors vous êtes contre la poésie elle-même. Même chose avec le récit de l’ingérence/collusion/piratage en Russie : « il est », point à la ligne. Dire que ce n’est pas, est comme dire que Mary n’avait pas de petit agneau.

Je vais vous laisser avec de la poésie Vogon. Il y a presque dix ans, à la fin de 2009, j’ai rédigé quelques prédictions pour la prochaine décennie. Une de mes prédictions, et que je maintiens, est que les Américains, incapables de modérer leur appétit face à des circonstances radicalement modifiées, vont

se consumer dans l’oubli
comme tant de requins éventrés mais toujours voraces
se gaver sans cesse
de leurs propres entrailles flottantes.

Les cinq stades de l’effondrement

Dmitry Orlov

Vers où va-t-on ?: Trump contre la FED : l’Amérique sacrifiée sur l’autel du NOM

Vers où va-t-on ?

Trump contre la FED : l’Amérique sacrifiée sur l’autel du NOM

Posted: 15 Aug 2018 03:21 PM PDT
Article original de Brandon Smith, publié le 26 juillet 2018 sur le site alt-market.com
Traduit par le blog http://versouvaton.blogspot.fr

Il y a un décalage au sein du mouvement de la liberté sur la notion de l’endroit où trouver la racine du globalisme. Un groupe de personnes au sein du mouvement semble penser que la source du globalisme réside en Amérique même ; que l’impérialisme américain est la base du système globaliste et que le dollar est le mécanisme le plus important pour soutenir leur puissance. C’est une simplification sommaire du problème.

De nombreuses idées fausses découlent de l’idée que les globalistes ont réellement une loyauté envers le système américain. Par exemple, au cours des dernières années, vous avez souvent entendu l’argument selon lequel la Réserve fédérale « ne mettrait jamais fin au QE », qu’elle « ne laisserait jamais tomber les marchés boursiers », qu’elle « n’augmenterait jamais les taux d’intérêt », etc. Toutes ces hypothèses reposaient sur l’idée que les banquiers centraux et les globalistes ont besoin de l’économie américaine et du système du dollar pour maintenir le contrôle financier du monde en général.

Toutes ces hypothèses se sont révélées complètement fausses, car les deux dernières années montrent, dans les fondamentaux financiers, les effets directs de la FED retirant son soutien artificiel à l’économie américaine. En particulier, nous avons assisté à une flambée de la dette des entreprises et de celle des consommateurs depuis le crash de 2008. Les entreprises se démènent pour compenser le relâchement des mesures de relance de la FED, et elles creusent elles-mêmes leur tombe dans le processus.

Non seulement cela, mais nous avons de nombreux exemples de fonctionnaires de la FED admettant qu’un crash sur les marchés et l’économie se produirait si la FED coupait son soutien. Cela inclut le président actuel de la FED, Jerome Powell, qui a décrit le résultat des réductions de bilans et des hausses de taux d’intérêt en 2012. Les sceptiques ne peuvent donc pas argumenter que la FED est inconsciente de ses propres actions et de leurs conséquences. Les banquiers centraux savent exactement ce qu’ils font et ce qui va arriver en conséquence. Ils font délibérément chuter l’économie américaine alors que de multiples secteurs sont suspendus aux effets de la mince hausse des taux d’intérêt, faible mais en hausse constante, et aux réductions d’impôts de Trump.

Cela a causé une confusion considérable pour de nombreux analystes alternatifs. Ils ont passé tellement de temps à fonctionner sous l’idée que la FED protégera les marchés américains, protégera le dollar et se protégera ainsi elle-même. Ce qu’ils ont refusé d’accepter, c’est la possibilité que la FED soit en fait un kamikaze dont le but est de se détruire elle-même et tout ce qui l’entoure, faisant ainsi tomber l’Amérique de l’intérieur.

Mais pourquoi les globalistes le feraient-ils ? Pour ceux qui supposent que l’économie américaine représente la « poule aux œufs d’or », ce que je décris ci-dessus est inconcevable. Afin de comprendre ce qui se passe et pourquoi nous devons rejeter le mensonge selon lequel l’Amérique est une oie dorée qui soutiendrait perpétuellement l’agenda globaliste. Au contraire, l’Amérique est plus comme un hôte des parasites globalisants, et une fois que l’hôte est vidé de toute vitalité, les parasites partiront et passeront à des cibles plus grandes et meilleures.

En d’autres termes, tout comme de nombreux empires avant lui, le système américain a servi un objectif pour une fenêtre de temps particulière. Il a été exploité comme un moyen de parvenir à une fin, et maintenant les élites bancaires passent à un « nouvel ordre mondial » dans lequel l’Amérique joue un rôle plus réduit. C’est pourquoi la FED continue d’agir d’une manière qui semble déconcertante pour tant de personnes. C’est pourquoi la FED prend des mesures dont les dirigeants ont ouvertement admis qu’elles entraîneront un crash. Ils VEULENT veulent un crash.

La FED elle-même n’est qu’une coquille vide. C’est une institution de papier, représentant un ensemble d’illusions qui sont traitées comme concrètes. Si nous cherchons le sommet de la pyramide globaliste, nous ne commencerions certainement pas avec la FED. La FED est un outil pour manipuler le cadre politique et le moteur économique des États-Unis, et comme toutes les autres banques centrales du monde, ses politiques sont dictées par des entités beaucoup plus importantes comme la Banque des règlements internationaux (BRI).

Ce sont des organisations comme la BRI et le FMI qui deviendront les nouveaux centres du monde financier alors que l’économie américaine et le dollar sombreront dans l’obscurité. J’ai décrit ce plan en détail dans mon article intitulé « Explication sur la la fin du jeu économique », mais il a fallu beaucoup de temps pour que les faits que j’ai présenté soient acceptés par une plus grande partie du mouvement. L’affirmation que la FED « ne se sacrifierait jamais » est une distraction puissante de la vérité.

Les globalistes ne se soucient pas du maintien du système américain tel qu’il est. Ils sont même prêts à l’affaiblir afin de créer le chaos nécessaire pour générer un capital social et politique ; le genre de capital qui leur achètera une réinitialisation économique mondiale et leur soi-disant « nouvel ordre mondial ». Au sein de cette construction, les masses seraient amenées à accepter une centralisation ouverte du contrôle financier et politique entre les mains d’une minorité d’élites bancaires. C’est-à-dire que les globalistes ne veulent plus se cacher ; ils préfèrent être à découverts et vénérés comme les sauveurs de l’humanité plutôt que méprisés comme un cancer organisé.

Afin de réaliser une telle farce fantastique, certaines mesures doivent être prises. En particulier, quelqu’un d’autre doit prendre sur lui la responsabilité des conséquences désastreuses de la réinitialisation globale quand elle va s’accélérer.

Donald Trump fait parfaitement l’affaire pour un certain nombre de raisons, mais le bouc émissaire ultime pour un crash du système américain n’est pas Trump seul, mais l’idéal conservateur dans son ensemble. J’ai soutenu pendant un certain temps que Trump est probablement une opposition contrôlée – un joueur de flûte pour les conservateurs. Sa rhétorique est presque tout ce que les défenseurs de la liberté et les Républicains aiment entendre, mais ses actions ne correspondent pas toujours à ses paroles.

En particulier, l’intronisation de plusieurs élites bancaires et de membres du Council on Foreign Relations dans le cabinet de Trump rend impossible qu’un véritable changement se produise au sein de la Maison Blanche, sans parler du reste à Washington. C’est probablement pourquoi nous avons vu Trump changer d’opinion sur tant de problèmes récemment. Trump est censé présenter le visage d’un pilier conservateur « populiste » tout en faisant en même temps appel aux petites mains globalistes, debout derrière son épaule dans le bureau ovale.
Plus spécifiquement, Trump a inversé son discours sur sa relation avec la FED à plusieurs reprises.

En septembre 2016, Trump a attaqué la FED lors de sa campagne déclarant qu’elle maintenait les taux d’intérêt bas et le dollar faible, afin de stimuler artificiellement les marchés boursiers pour l’administration Obama. C’était largement vrai, même si la FED ne se souciait pas de protéger l’image d’un président en particulier. Au lieu de cela, elle se préparait à la réinitialisation globale tout en s’apprêtant à jeter le blâme sur leur bouc émissaire populiste.
Après son entrée en fonction, Trump a soudainement changé d’attitude, offrant un soutien total à Janet Yellen puis à Jerome Powell tout en prenant le crédit de la flambée des marchés alimenté par les achats au bilan de la FED et les taux bas. Trump à l’époque a également déclaré qu’un dollar fort était bon pour l’Amérique.

Aujourd’hui, la situation a encore changé. Trump a maintenant subitement un conflit avec la Réserve fédérale et le dollar index en hausse, exprimant ses préoccupations que la FED crée des conditions qui mèneront à des difficultés dans la guerre commerciale en cours ainsi qu’à une crise économique. Les craintes augmentent au sein des cercles économiques dominants que cela mène à une guerre entre Trump et la FED. Certains théorisent même que Trump pourrait essayer de prendre le contrôle de la FED complètement.

Pour l’observateur occasionnel, tout cela fait apparaître Trump comme plutôt schizophrène – mais peut-être que c’est l’idée.

L’utilité de la FED pour les globalistes diminue. Leur seul travail consiste maintenant à continuer à relever les taux d’intérêt et à réduire leur bilan en procédant à une démolition contrôlée des marchés financiers et des marchés actions. Une fois que ça sera fait, il ne restera plus au dollar qu’à perdre son statut de monnaie de réserve mondiale et le sabotage des États-Unis sera terminé.

Une bataille entre Trump et la FED sert à plusieurs fins. Premièrement, elle couvre le démantèlement des actions américaines et du dollar américain, de même que la guerre commerciale (également imputée à Trump). Un conflit entre le président des États-Unis et la FED conduirait à des doutes importants sur la sécurité des investissements dans les actions américaines, sa dette et sa monnaie.

Deuxièmement, si Trump est perçu comme « sévissant » contre la FED, les activistes de la liberté qui sont sceptiques à l’égard de l’administration Trump et de son cabinet globaliste pourraient être attirés dans le gouffre et soutenir des politiques qui finiront par altérer la liberté. Le démantèlement de la FED il y a plusieurs années aurait causé des dommages irréversibles aux élites bancaires et à leurs plans pour une reprise économique parfaitement synchronisée. Aujourd’hui, c’est trop peu, trop tard. En fait, les globalistes peuvent PRÉFÉRER que la FED soit abattue par les conservateurs maintenant afin que nous devenions les méchants maladroits qui ont déclenché une panique financière historique.

Cela ne veut pas dire que je soutiens la poursuite de l’existence de la FED, mais je tiens à souligner que Trump ne parle pas de la lutte contre le FMI ou la BRI, et que personne d’autre n’en discute dans les médias. Retirer un appendice sacrificiel au calamar vampire est inutile ; nous devons aller vers des organisations au sommet et les fermer toutes pour faire une différence au niveau du résultat. Le fait qu’ils sacrifient la FED et le dollar n’aident pas les choses.
Je crois que la « schizophrénie » de Trump sur la FED n’est due, simplement, qu’à sa lecture du script qui lui a été donné. Je ne pense pas que les globalistes aient toujours été certains de vouloir utiliser la tactique d’une crise d’un président contre la FED. Mais, j’ai prédit au début de 2017 que c’est exactement ce qu’ils finiraient par faire dans mon article « Dans une bataille entre Trump et la Réserve fédérale, qui gagne vraiment ? ».

Cela n’a de sens qu’à ce stade du jeu. La FED va continuer à augmenter les taux d’intérêt et à réduire son bilan, quoi qu’il arrive. Ils vont utiliser les « pressions inflationnistes » prétendûment causées par les dépenses d’infrastructure de Trump et la guerre commerciale comme une excuse pour leurs actions. Trump, à son tour, va accuser la FED pour l’inévitable effondrement du marché boursier et la hausse du dollar, ce qui entraînera des difficultés à « gagner » la guerre commerciale.

Je ne sais pas si le scénario globaliste demande à Trump d’aller jusqu’à fermer complètement la FED, mais rassurez-vous, s’il le fait, il y aura des centaines d’analystes alternatifs décrétant que c’est une preuve irréfutable que Trump n’est pas une opposition contrôlée. Le plan actuel sera la fin du dollar en tant que monnaie de réserve mondiale pour faire place à la réinitialisation économique mondiale et à un cadre monétaire du NOM, le tout au nom de l’arrêt d’une catastrophe initiée par « des populistes conservateurs maléfiques ».

Ne vous méprenez pas, nous assistons à une guerre de 4e génération contre le public. Toutes les autres guerres, y compris la guerre commerciale, sont un théâtre kabuki conçu pour détourner l’attention de cette réalité. Même une guerre entre Trump et la FED serait en fin de compte ridicule car les globalistes sont déjà positionnés pour exploiter le résultat d’un système dollar défaillant. Le but ? Convaincre les masses que le nationalisme souverain mène au désastre planétaire, et que la « seule solution » est de remettre le pouvoir économique et politique à une autorité centralisée de grands prêtres financiers avec une ligne directe vers le dieu de la stabilité financière.

Brandon Smith